7 raisons pour lesquelles les lesbiennes vont adorer la saison 2 de Nine Perfect Strangers

La toute dernière saison de la très attendue saison 2 de Nine Perfect Strangers vient d’arriver sur Amazon Prime,  et entre un casting incroyable et une atmosphère qui transpire déjà l’intensité, on peut affirmer sans trop se tromper que les lesbiennes vont se ruer dessus.

Alors que la première saison baignait dans une lumière tropicale et un chaos spirituel ensoleillé, cette nouvelle saison troque le cadre du centre de bien-être pour un décor hivernal nettement plus instable sur le plan émotionnel, et indéniablement plus saphique. 

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Nicole Kidman en gourou mystique

Masha est de retour, et elle dégage toujours cette aura de « cheffe de secte éthérée qu’on suivrait au bord d’un précipice juste parce qu’elle l’a demandé ». Peu importe qu’elle dirige un centre de bien-être plutôt qu’une vraie secte, c’est une question d’énergie. Et Nicole Kidman reste sans égale dans ce registre. Soyons honnêtes : les saphiques ont un faible chronique pour les femmes plus âgées, énigmatiques, autoritaires, avec de lourds secrets.

Thérapie de groupe et liens traumatiques

Quoi de plus codé lesbien que des inconnus qui, à peine rencontrés, se mettent à décortiquer des décennies de traumatismes ensemble, isolés en pleine nature ? Si la première saison donne le ton, on peut s’attendre à une bonne dose de déconstruction collective.

Les débuts d’actrice de King Princess

Oui, la King Princess — royauté musicale saphique — fait ici ses débuts sur petit écran. Rien que ça, c’est la garantie que toutes les femmes queer abonnées à Prime seront au rendez-vous. Et évidemment, elle va jouer une lesbienne, non ? Hein ? Non ?

La mode hivernale réconfortante

Gardez vos climats tropicaux : les lesbiennes fondent pour l’esthétique chalet de montagne de luxe. Pulls oversize, écharpes tricotées, bonnets en tout genre, on est chez nous. Et ici, on a la version luxe de tout ça, avec une vibe « millionnaires tourmenté·es dans une station de bien-être ». On signe où ? On peut s’y installer ? En faire un parc à thème ?

Annie freakin’ Murphy

Lauréate d’un Emmy. Annie Murphy. (Les vrai·es savent.) Elle a beau jouer des personnages supposément hétéros, elle est des nôtres. C’est peut-être à cause des chemises à carreaux canadiennes. Ou des vibes chaotiques et parfaitement bisexuelles qu’elle projetait dans Schitt’s Creek. Peu importe, on la suit jusqu’au bout du monde, et on l’accueille à bras ouverts.

Maisie Richardson-Sellers

À chaque fois que Maisie apparaît à l’écran, c’est un pur bonheur. De The Originals à Legends of Tomorrow, en passant par Jagged Mind, elle insuffle une énergie queer à ses personnages, même quand le scénario n’ose pas aller jusque-là. On croise les doigts pour que Nine Perfect Strangers ne nous fasse pas le coup du bisou coupé au montage, comme cette série dont on ne se remettra jamais… sinon, il va falloir sortir les fourches.

Le souvenir de Mamma Mia!

Les gays et les lesbiennes partagent la garde affective de Christine Baranski. On l’aime tous. Comment ne pas l’aimer ? On se réjouit déjà de chacune de ses apparitions fabuleuses dans cette nouvelle saison. Et il est fortement probable qu’on enchaîne avec un double feature de Mamma Mia! et Mamma Mia! Here We Go Again après le deuxième épisode. Par pure tradition culturelle.

La bande annonce

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