Ces mots injustement assignés mâles à la naissance !

Le chocolat par exemple... Si doux, réconfortant, le parfait antidépresseurs contre les violences faites aux femmes !
Militons pour que le chocolat devienne "la chocolate". En plus ça sonne un brin italienne... Miam !

Je pense aussi aux bonbons.
Ces petites friandises colorées et délicieuses qui nous aident à traverser nos moments les plus difficiles, surtout pendant la période des SPM, n'est-ce pas les filles ? Ils sont plus fidèles que la plupart des types hétéros que j'ai vu passé dans mon entourage familial...
Je propose que nous commencions à appeler les bonbons "les bonbelles". Ça sonne bien, n'est-ce pas ?

Et puis, il y a le café, boisson divine qui nous réveille tous les matins, nous soutient lors de longues réunions. Je suis certaine que si le café était une femme, il serait le genre de femme forte, indépendante et bien sûr, lesbienne ! Alors, à partir de maintenant, je propose que nous appelions le café "la caféine". D'autant que le mot existe déjà.

Ensuite. Le vin ! N'oublions pas le vin. Cette boisson douce qui nous accompagne lors de nos soirées entre filles, lors de nos déceptions amoureuses, lors de nos victoires, bref, dans tous les moments importants de notre vie. Le vin est clairement une femme. Une femme qui sait s'amuser, qui n'a pas peur de faire la fête et qui sait toujours comment nous remonter le moral. Alors, à partir de maintenant, je propose que nous appelions la bière "la vinette" ! C'est joli...

Puis quitter à parler de ces mots masculins qui, soyons honnêtes, méritent d'être féminins, qu'en est-il des mots féminins qu'on utilise toujours pour désigner des choses négatives ? Par exemple, la crise, toujours là pour nous rappeler que tout ne va pas bien. Pourquoi ne pas l'appeler 'le' crise ? Ça a un petit quelque chose de plus optimiste, non ? Puis il épouse bien les mots comme "viol" "homicide" et tous les mots en -ophile !
Et la grippe... ce mal qui vous rend misérable. Qui a décrété qu'elle serait féminine ? Je propose qu'à partir d'aujourd'hui, on l'appelle 'le' grippe comme le covid... Ca sonne un peu étrange, mais je vous assure, ça a du sens et vous vous y ferez.

Ensuite, il y a la faillite, qui vous fait perdre tout ce que vous avez travaillé si dur à construire... Un peu ce qu'on font certains types quand vous décidez de vous barrer. Je pense que c'est le moment de rendre la faillite masculine pour une belle association d'idées.. A partir de maintenant, disons 'le' faillit. Ça a un air de défiance...

C'était mon billet d'humour !

Rejoignez-moi dans cette révolution des mots et proposez vos changements pour un dictionnaire féministe et radicalement fait pour noues ;)

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